• Saint-Martin-la-Rivière, commune de Valdivienne (Vienne). Stéphane et Virginie devait se marier samedi vers 16 heures.

    Vers 15h40 les futurs mariés commencent par la séance photos dans le square du village Saint Martin, précise La Nouvelle République.

    Mais peu de temps après, Virginie a de violentes contractions et commence à "perdre les eaux". C’est la panique. C’est urgent. Les pompiers sont appelés à l'aide. Le maire et  le diacre qui devaient officier, sont décommandés. Les pompiers arrivent, prennent en charge la maman et le bébé et les transportent au CHU de Poitiers. La femme accouche d'un petit Ely, 3,39 kg.

    Pendant ce temps, à Saint-Martin, sous le préau de la salle des fêtes, les invités de la noce qui n’a pas eu lieu, sont conviés à boire un vin d’honneur à la santé du nouveau-né!

    Quand à la fête, ce n’est que partie remise, ont promis les heureux parents… C’est à cause d’Ely qui n’a pas eu la patience d’attendre ! Bébé...

     

                                   


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  •  Cité de la Mer

    Le Redoutable

    L'idée d'un musée autour du Redoutable, premier sous-marin nucléaire français, date du lancement de son démantèlement, à la fin des années 1980. Le président de la Communauté urbaine de Cherbourg (CUC), et par ailleurs ministre du Tourisme, Olivier Stirn, lance une étude pour la conception d'un tel musée, mais l'ampleur décourage les élus. Mais quelques associations actives réussissent à ce que soit inscrit en 1995 par les conseils municipaux de l'agglomération, le transfert de compétence à la CUC pour la conception, la réalisation et la gestion d'un musée naval, au sein de la gare transatlantique.

    Dès lors porté par Bernard Cauvin, président de la CUC, le projet s'inscrit également dans la réhabilitation de l'ancienne gare maritime de René Levavasseur, plus grand monument «art déco» de France, confiée à l'architecte Jean-François Milou.

    Attractions

    Dans l'aquarium abyssal
    Le bathyscaphe Archimède

    Un parcours muséographique permet aux visiteurs de découvrir comment l’homme, tiraillé entre ses peurs de l’inconnu et son goût pour l’aventure, s’est risqué de plus en plus profond sous la surface. Ce parcours est ponctué de 17 aquariums originaux, dont l’aquarium abyssal, de 10,70 m de profondeur. Ces aquariums permettent de voir comment l’Homme s’est inspiré du monde animal pour inventer des techniques d’évolution sous-marine.

    La Cité de la Mer propose également la visite du Redoutable, premier sous-marin nucléaire lanceur d'engins (SNLE), construit par l'Arsenal et lancé à Cherbourg par le président de la République de l'époque, le général De Gaulle le 29 mars 1967. Admis au service actif entre 1971 et 1985, le Redoutable a été désarmé en 1991 après 58 patrouilles opérationnelles, il a rejoint la Cité de la Mer le 4 juillet 2000.

    Les visiteurs peuvent aussi voir dans le hall de la Gare maritime transatlantique, un canon remonté de l'épave de l'USS Alabama, coulé au large de Cherbourg en 1864, ainsi que le bathyscaphe Archimède mis à disposition par le Musée national de la Marine. Archimède, avec à son bord le commandant O'Byrne, le professeur Sazaki et Henri Germain Delauze, a atteint le 25 juillet 1962, dans la fosse des Kouriles, la profondeur de 9 545 mètres.

    La Comex a offert cinq sous-marins d'exploration à la Cité de la Mer. Le sous-marin d’observation monoplace Remora a pris place en juin 2007 dans un espace dédié à l'entreprise et à Henri Germain Delauze, pionnier des grandes profondeurs. Le sous-marin humide Total Sub et le sous-marin biplace Globule sont visibles dans la nef d'accueil. Les deux derniers engins sont actuellement en réfection.

    Célébrant l'ambition maritime de l'agglomération cherbourgeoise, la Cité de la Mer a été un succès dès son ouverture, devenant le second lieu touristique payant le plus visité de la Manche, après l'Abbaye du Mont Saint-Michel. Fin 2007, elle accueillait son 1 500 000e visiteurs.

    Depuis avril 2008, une attraction propose une visite virtuelle des fonds abyssaux, « On a marché sous la mer ».

     

    site internet : www.citedelamer.fr


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  • LONDRES - Un piano des studios d'Abbey Road, utilisé notamment par les Beatles et Pink Floyd, sera mis aux enchères le 15 août prochain et pourrait trouver preneur à 150.000 livres sterling (180.000 euros).

    Le piano Challen des studios londoniens sera l'une des pièces maitresses de la vente de la maison d'enchères Bonhams sur les pionniers de la culture populaire (1940-1990).

    Selon Bonhams, l'instrument a été utilisé sur les titres "Tomorrow never knows", "Paperback writer" des Beatles et pour certains morceaux des albums "Wish you were there" et "Dark Side of the moon" de Pink Floyd.

    "Ce piano a été acheté en 1964 pour 250 livres (300 euros). Il a été exclusivement utilisé dans le Studio 3 dans les années 70 et 80, par les Beatles dans les années 60, probablement par Pink Floyd lors de ses enregistrements à Abbey Road, et par d'autres artistes également", a dit à Reuters Télévision le consultant de Bonhams, Stephen Maycock.

    Le piano se trouvait au studio 3 d'Abbey Road jusqu'à ce qu'il en soit retiré dans les années 1980. Les studios ont été immortalisés par les Beatles par leur album du même nom.

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    Les Beatles à leur arrivée à New York le 7 février 1964. En haut : John Lennon et Paul McCartney. En bas : George Harrison et Ringo Starr.

                             


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  • Inde – Un ascète hindou aujourd’hui âgé de 83 ans explique s’être passé de nourriture et d’eau, et cela depuis 70 ans. Placé en observation dans un hôpital indien, il est aujourd'hui étudié par une équipe médicale qui cherche à percer le mystère de sa survie et de son mode de vie.

    Le Yogi Prahlad Jani se présente comme un vieille homme mince, la peau mate et une longue barbe blanche. Il explique qu’alors qu’il n’était âgé que de 8 ans, une déesse l’a béni, le délivrant du besoin de nourriture pour survivre. Soixante-dix ans plus tard, l’homme assure qu’il n’a depuis ni mangé, ni bu, et il est aujourd’hui hospitalisé, dans le seul but de trouver le secret de sa longévité. Il subit ainsi plusieurs tests médicaux, et cela sous observation continue. Si les tests devraient durer entre 15 et 20 jours, le médecin en charge des examens explique que depuis son hospitalisation, le Yogi n’a ni bu, ni mangé, ni même été aux toilettes, trois caméras le filmant 24h/24 à l’appui.

    Le Dr Illavazahagan explique à l’AFP : "De cette observation jaillira peut-être la lumière sur la survie de l’homme sans eau ni nourriture […] Le recours au scanner vise à comprendre quelle est l’énergie qui soutient son existence. Jani dit qu’il médite pour avoir de l’énergie". L’équipe médicale espère ainsi percer le secret du Yogi afin de pouvoir élaborer des stratégies de survie lors de missions spatiales, ou de catastrophes naturelles.

     

                                    bonjour


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  • Parce que la Caisse d’allocations familiales les considère désormais comme morts, un frère et une sœur doivent désormais prouver qu’ils sont bien vivants pour continuer à percevoir leurs allocations.

    Sur la base de courriers malveillants, explique l’AFP, la CAF a considéré que deux individus étaient morts. Bernard, 50 ans, a découvert cela après avoir appelé la Caisse d’allocations familiales en ne voyant pas verser ses allocations de juin. Ce dernier explique : "J’étais perdu, choqué". D’autant que dans la famille, ce n’est pas première fois que cela arrive puisque sa sœur Bernadette a subi la même mésaventure en novembre 2009.

    Un porte-parole de la CAF explique à l’Agence France Presse : "Les allocations de Madame N., à l’époque, n’ont toutefois pas été suspendues, mais à cause d’une erreur de notre part. Sinon, elles auraient dû l’être." Et alors que certains s’étonnent que les allocations ont été suspendues après la réception d’une simple lettre annonçant le décès des allocataires, le porte-parole explique : "La procédure de simplification administrative, mise en place depuis plusieurs années, fait que lorsqu’on reçoit un courrier concernant le prestataire, avec son nom et son adresse, on l’enregistre sans demander d’acte de décès." Aujourd’hui, Bernard doit prouver qu’il est bien en vie, en se procurant une attestation de la mairie. 

     

                                          Bon mercredi


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