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L'HORLOGE
je guette le cadran de l'horloge,
et les aiguilles tournent sans fin
je doute et je m'interroge
aurais je peur de demain ?
Ce temps assassin qui défile
me meurtrit chaque jour
de petites secondes inutiles
qui me prennent de court
L'aiguille égrainant les secondes
s'agite et s'affole sur le cadran
attirée par des mauvaises ondes
défilant les minutes folles du temps.
Le Général Patoune
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Commentaires
bien dit.
je ne voie pas de pub, dans tes modules de gauche.
le soleil est maintenant bien présent, je vais en profiter pour finir mes plantations...
bonne journée de mercrediHello général Tu as écrit un bien joli poème. T'as raison le temps court trop vite !! Bon mercredi
Bonjour Pat
Pas très gai , ça reflète ton mal être
Bon après midi sous la pluie depuis ce matin mais très fine bisous
salut
un beau poème
mais il ne faut pas avoir peur du temps, il suffit de vivre à l'ancienne avec le soleil et la lune
bonne journée
Bonjour Patrick .
Il continue de pleuvoir chez nous , comme de partout dans le sud est .
Si il faisait une température de saison , on serait envahie par la neige .
C'est tant mieux pour nous , mais c'est bien triste pour ceux qui sont victimes des intempéries .
Bonne journée .
Amitié de nous deux .
fait pour les modules...ce matin le ciel semble se dégager, nous verrons....... bonne journée de jeudi
Très heureuse de retrouver la blogosphère, après cette interruption de trois semaines !
Changement de FAI.
C'est avec plaisir que je viens te souhaiter un bon jeudi.
Bisoux
PS : Des passages très rapides toute le fin de semaine, car beaucoup de travail à rattraper ...coucou
j'avais également fait un poème sur le temps qui passe sur mon blog arts-peinture
bonne journée
bisousssssssssss
Bonjour PATRICK
Avec le petit mieux d'hier
Une apparition du soleil
De quoi donner de l'espoir
Pour la fin de semaine
Bon vendredi
Avec mes Amitiés
56MELDIX77
le Briard Breton
http://aveclaphoto.eklablog.com/
Oui, dans ces jours d’automne
Où la nature expire,
A ses regards voilés
Je trouve plus d’attrais.
LAMARTINE
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Un si beau poeme et portant, quel désarroi dans tes écris.
Et comme je te comprend.
De quoi sera fait les lendemains.
Si cette fichue aiguille pouvait s' arrêter quelques temps, pour toi et surement pour d'autres, dans le même cas.
C'est dramatique, mais, ou est la solution ?
Il te faudra beaucoup de courage, cher Pat.
Bisous Aimée