Il y a 1 mois, nous avons acheté un abri de jardin a Jardiland pour ranger notre matériel et désengorger un peu notre garage qui est envahi littérallement. J'avais fait une demande de travaux auprès de la mairie en 3 exemplaires ( c'est la loi) et j'ai fait venir un maçon pour installer une dalle de ciment pour poser l'abri. Vu le montant excessif de son devis (2700 euros : 3 fois le prix de l'abri !) j'ai décidé de faire mon support moi même avec des parpaings pleins de 30 kilos lestés de cailloux. J'en ai mis en tout 40 ce qui fait au total un support de 1200 kilos pour un abri qui pése 500 kilos.

 Je commence le support en tenant compte de la pente de 20 cm. Je nivele le fond pour poser une bache géotextile pour éviter les remontées d'humidité. Maeva surveille les travaux au cas ou !

  Me voilà déjà a moitié ! Auparavant, j'ai préparé le support du plancher en fixant des lambourdes. Le terrain étant pil poil au niveau, l'emboitement des madriers est facile !

  Je monte ensuite la toiture composée de 74 lattes en pin. Ensuite, je vais recouvrir la surface de feutre bitumineux a base de goudron résistant aux intempéries.

    Derniere chose à faire, monter et régler l'écartement des portes ce qui a été loin d'etre évident ! Il me reste maintenant à passer deux couches de lasure pour le protéger de l'hiver. A votre avis, j'ai bien travaillé ou pas ??

 Villedieu les Poeles est une commune du centre manche réputée pour son travail du cuivre et sa célèbre fonderie de cloches Cornille Havard dont sa réputation n'est plus à prouver. Le travail de la dinanderie (cuivre) reste une longue tradition ancrée depuis des siecles.

Au coeur d'un atelier unique du XIXème siècle, où traditions ancestrales se marient avec technologies de pointe, une centaine de cloches monumentales voient le jour chaque année. Reconnue pour sont excellence Cornille Havard a fabriqué, en 2013, les nouvelles cloches de Notre Dame de Paris.

Situé à 4 Km de Coutances, le château de Gratot construit entre les XIIIe et XVIIIe siècle est classé monument historique depuis 1970.
Seize générations de seigneurs, les d’Argouges, l’ont bâti, remanié et agrandi. D’un château médiéval il est devenu une riche demeure. Totalement abandonné au début du 20e siècle, le château est aujourd’hui un centre d’animation culturel.

La légende de la fée : Un des seigneurs d’Argouges revenait de la chasse et rencontra à la fontaine une très belle jeune femme du nom d’Andaine, la fée de Gratot. Il devint éperdument amoureux d’elle et la demanda en mariage. La belle lui dit qu’elle était une fée et qu’elle acceptait de devenir son épouse à condition qu’il ne prononce jamais le mot « Mort ». Le seigneur le promit.

Un jour, lors d’une fête au château, excédé d’attendre sa dame qui se préparait, il lui lança : « Dame vous êtes bien lente dans vos besognes ! Seriez vous bonne à aller quérir la mort ? ». La fée poussa alors un cri déchirant, monta sur le rebord de la fenêtre et disparut en laissant l’empreinte de son pied et de sa main.

   Voila une nouvelle venue à la maison. Après la perte de Prisca que nous n'oublierons pas, voilà une nouvelle choupette de 2 mois qui débarque chez nous. L'oeil vif aux aguets, espiègle et joueuse à 100%, Maeva est mignonne et s'habitue très vite à nos habitudes. Certes, il y a de l'éducation à faire mais elle comprend tout à une vitesse éclair. A 5 semaines elle comprenait déjà son prénom et a pris ses repères à une vitesse surprenante. Elle adore la voiture et apparramment jape très peu ce qui est agréable. Par contre, elle est trop sociable car elle veut dire bonjour à tout le monde. J'espère qu'en grandissant, cela disparaitra.

Le château de Regnéville, à quelques kilométres de chez nous est un ancien chateau fort fondé au XII^e siècle, remanié aux XIV^e et XV^e siècles et ruiné en 1637, dont les vestiges se dressent en bordure du havre dans le département du cotentin Aujourd'hui propriété du conseil général depuis 1989, des campagnes de fouilles et des travaux de restauration lui redonnent progressivement vie.

Au titre des monuments ; l'ensemble des vestiges formant la basse-cour, y compris les sols font l'objet d'une inscription par arrêté du 1^er décembre 1989 ; les ruines du donjon et l'ensemble des vestiges formant la haute-cour, y compris les sols font l'objet d'un classement par arrêté du 13 septembre 1991. L'été de nombreuses animations et concerts sont organisés par une poignée de bénévoles qui rencontrent un grand succés.