-
Absent ce week-end !!!
Comme Colnem vous l'a écrit sur son article,nous sommes absents ce week-end.Je répondrais à vos coms que mardi matin!
Cette semaine je travaille l'après-midi !!!
Je vous souhaite de bien profiter du week-end,
-
Commentaires
Bonjour Pâtrick , passez un très bon week-end , amitiés de Thierry et bon courage pour la semaine prochaine
mon petit coucou ensoleillé pour te souhaiter un très bon après-midi et un très bon week-end de gros bizzzous
Bisous du jour .... ce matin soleil, un bel air de printemps ..... mais là c'est gris de plomb ....
Premier sourire du printemps Tandis qu'à leurs oeuvres perverses
Les hommes courent haletants,
Mars qui rit, malgré les averses,
Prépare en secret le printemps.
Pour les petites pâquerettes,
Sournoisement, lorsque tout dort,
Il repasse les collerettes
Et cisèle les boutons d'or.
Dans le verger et dans la vigne,
Il s'en va furtif perruquier,
Avec une houppe de cygne,
Poudrer à frimas l'amandier.
La nature au lit se repose,
Lui, descend au jardin désert
Et lace les boutons de rose
Dans leur corset de velours vert.
Puis, lorsque sa besogne est faite,
Et que son règne va finir,
Au seuil d'avril, tournant la tête,
Il dit : "printemps, tu peux venir."
Théophile Gautier
bonsoir et bonne fin de semaine
bon week end à vous
Amitiés à dgisgi si vous les voyez comme 'jai dit à votre femme
tout est okclic
13madilysSamedi 10 Mars 2012 à 10:32bisous sous un ciel gris après la belle matinée d'hier ... ce samedi j'ai envie de cooconing au chaud ...et je vais encore vous mettre un poème ... oui je sais tout le monde n'aime pas mais là j'ai choisit du
william Blake
AUGURES D’INNOCENCE
Voir le monde en un grain de sable,
Un ciel en une fleur des champs,
Retenir l’infini dans la paume des mains
Et l’éternité dans une heure.
Rouge-gorge mis en cage,
Voilà tout le ciel en rage.
Un colombier plein de colombes et de ramiers
Fait frissonner l’enfer en tous ses ateliers.
Un chien qui meurt au seuil de la maison du maître
Prononce que l’Etat bientôt va disparaître.
Cheval frappé sur le chemin
Réclame du sang humain.
A chaque cri plaintif du lièvre que l’on chasse
C’est un fil de la cervelle qui casse.
Alouette à l’aile blessée
Un chérubin cesse de chanter.
Le coq dressé pour le combat,
Fait du soleil levant l’effroi.
Tout hurlement de loup, de lion sur la terre
Réveille une âme et la retire hors de l’enfer.
Le cerf errant par les taillis
Tient l’âme humaine hors du souci.
L’agneau prétexte du pêché
Pardonne au couteau du boucher.
Chauve-souris volant lorsque tombe le soir
Fuit l’esprit de celui qui n’a pas voulu croire.
La chouette, dans la nuit, en appelant
Dit la frayeur des mécréants.
As-tu blessé le roitelet ?
Hommes ne t’aimeront jamais.
Qui a mis le bœuf en courroux
De femme n’aura les yeux doux.
L’enfant cruel qui tue la mouche,
L’araignée lui sera farouche.
Qui tourmente du hanneton l’esprit
Tisse une charmille en fin de nuit.
La chenille sur la feuille
Redit de ta mère le deuil.
Ne tue papillon ni phalène
Crainte qu’à Jugement ne viennes.
Qui pour la guerre un cheval dressera
Barre du Pôle jamais ne passera.
Le chien du mendiant, le chat de la veuve,
Nourris-les, tu feras peau neuve.
La mouche qui, chantant l’été, bourdonne
La calomnie vous l’empoisonne.
Poison de vipère et d’orvet
Sous le pas d’Envie il se fait.
Le poison tueur de l’abeille,
L’artiste jaloux le réveille
Les vêtements royaux, les hardes du mendiant
Prolifèrent dans le bagage de l’avare.
Vérité dite à fin méchante
Bat tout mensonge que tu inventes.
Il est bien qu’ainsi tout se fonde :
Pour joie et peine homme fut fait,
Et quand nous savons bien que c’est,
Nous allons saufs de par le monde.
Joie et peine en fin tissage
Habit pour l’Ame divin,
Sous chaque dol et chagrin
Court un fil de soie et de joie.
Plus est l’enfant que son maillot
Chez l’homme, par monts et par vaux.
On fait l’outil, naissent nos mains,
Un fermier comprend ça très bien.
Chaque larme d’un œil tombé
Devient un enfant dans l’éternité
Le recueillent des femmes claires
Et le rendent à sa lumière.
Qu’il aboie ou mugisse ou rugisse ou qu’il bêle,
C’est le Flot qui vient battre le rivage du ciel.
L’enfant criant sous le bâton
Inscrit vengeance chez Pluton.
Les loques de pauvre qui flottent au vent
Disloquent les cieux à chaque moment.
Soldat qui prend l’épée et le fusil,
Pour le soleil de l’été paralysie.
Le sou du pauvre a plus de prix
Que tout l’or des côtes d’Afrique.
Pris des mains du travailleur un seul liard
Achète et vend les terres de l’avare ;
Mais si le vol est d’en haut garanti,
Il vendra et achètera tout ce pays.
Qui rit de la foi d’un enfant
Sera moqué, vieillard, mourant.
Qui enseigne à l’enfant le doute
Hors du tombeau pourri ne trouvera sa route.
Qui respecte la foi de l’enfant,
D’enfer et de mort sera triomphant.
L’enfant a ses jouets, le vieillard sa raisons,
Ce sont les fruits des deux saisons.
Le questionneur assis, avec l’air si malin,
Ignorera quelle est la réponse, sans fin.
Qui répond au doute bavard
Souffle la lumière du savoir.
Le plus fort poison jamais essayé
Vient de César et sa couronne de laurier.
Rien ne défait l’humaine nature
Si bien que le fer des armures.
Quand d’or et de joyaux la charrue s’ornera
L’envie devant les arts de paix s’inclinera.
Enigme, ou chant du grillon
Est au doute un bon répons.
Un pouce pour la fourmi, c’est pour l’aigle une lieue,
Ca prête à rire au philosophe boiteux.
Qui va doutant de ce qu’il voit
Ne croira en ce que tu fais, quoi que ce soit.
Soleil et lune, s’ils entraient jamais en doute,
Ils sortiraient aussitôt de leur route.
En passion tu peux bien faire,
Passion en toi, elle te perd.
Sous licence d’Etat le joueur, la putain,
Pour cette nation bâtissent un destin.
Le cri des filles, de seuil en seuil,
A la vieille Angleterre va tisser son linceul.
Hurrahs et jurons de qui gagne ou perd
Conduisent les funérailles de l’Angleterre.
Chaque soir, chaque matin,
Tels naissent pour le chagrin.
Chaque matin, chaque soir,
Tels pour délices d’espoir.
Tels naissent pour les délices,
Tels pour nuit qui ne finisse.
Un mensonge tu peux le croire
Tant que tu ne vois pas plus loin que ton regard.
Qui naquit une nuit, pour périr une nuit
Quand aux rayons du Jour l’âme était endormie.
Dieu apparaît, Dieu est lumière
Aux âmes ayant en la nuit repaire,
Mais il montre une forme d’homme
A ceux qui dans le Jour ont leur royaume.
William Blake, in Chansons et mythesJe te souhaite un bon weekend, avec du soleil et toutoune m'accompagne pour une bise étoilée
En espérant que tu passes de bons moments en ce samedi qui est bien gris chez moi !
Plein de bises *
bonne soirée
famille était là ce jour pour fêter l'anniversaire
à la choupette
d'où mon passage à cette heure
à demain**
christelle
Coucou, ma visite en ce dimanche ensoleillé pour te souhaiter une belle après midi, bisous étoilé.
Mon coucou du weekend, j'en profite pour t'annoncer que je pars en voyage ce jeudi 15 mars et que je serais de retour le 24 mars, si tu pouvais passer sur mes blogs, ce serait sympa.
merci, bise étoilée
Bonjour Patoune,
Un lundi gris et puis le reste devrait être soleil...
Excellente reprise, bisous > à demain
*`¯)......en ce matin printanier
.•`¯ .•`¯) .•*`¯)
(_.•` (_.• . ..•`......je m en vient de te delivrer
. . . . . . .(_.•*`¯`*•.
____???_____???_____.mon message d amitièe
__?_____?_?_____?___
__?______?______?___...je repart sur la pointe des pieds
___?___******__?____
_____?_______?______..****(-_-)
_______?___?________
_________?__________ chez toi j ai deposèe
*`¯) *`¯)...joie et gaitèe
.•`¯ .•`¯) .•*`¯)
(_.•` (_.• . ..•`..pour toute ta journèe
. . . . . . .(_.•*`¯`*•
???...gros bisous...???
???..kalyna..???
je passe faire mon coucou du lundi, j'essaierais de repasser avant mon départ jeudi, j'espère que tu passeras malgré mon absence, merci beaucoup,
bise étoilée
Ajouter un commentaire
Pas de problème « comme j’ai déjà dis à colnem », je passerais chaque jour, gros bisous et repose toi bien.