Dans ce conflit, le rôle des forces de l'ordure a été déterminant...
- C'est alors que le suspect a eu l'audace de s'endormir pendant que nous l'interrogions.
- Interrogé par nos soins, l'homme a alors menacé de nous répondre si on continuait à l'interroger...
- L'homme sortit de son pantalon un engin avec lequel il frappa violemment l'inspecteur à la bouche.
- Le garçon de café était une femme...
- L'homme nous raconta toute la vérité qui n'était qu'un tissu de mensonges.
- L'homme a refusé de reconnaître qu'il nous avait menti en affirmant qu'il était mort.
- Le prévenu a attendu d'avoir fini son repas pour commencer une grève de la faim.
- L'homme attendait l'autobus d'un oeil suspect...
- Les trois africains soupçonnés d'avoir trempé dans l'affaire ont tous été blanchis par l'enquête qui a suivi.
- Face à face avec son adversaire, l'homme le prit en traître par derrière...
- Le suspect nous a alors menacés en fronçant les sourcils...
- Le cadavre de l'homme qui nous a été présenté correspondait bien à la description de la femme qui avait été vue par les différents témoins.
- L'homme avait tenté de forcer toutes les issues de la femme sans parvenir à s'y introduire.
- Seule l'autopsie pourra dire si l'homme est encore vivant...
- Non seulement la mère n'est pas morte comme le prétendent ses enfants, mais il a même été prouvé qu'elle est en vie.
- La femme resta ouverte jusqu'à l'arrivée de son mari... Son alibi ayant pu être vérifié, nous avons été obligé de constater que le suspect ne pouvait être présent à l'heure dite sur les lieux du
vol qu'il avait commis.
- Dès que l'homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire.
- L'assassinat avait donc bien le crime pour seule et unique raison.
- On ignore les raisons qui ont poussé le désespéré à se faire assassiner...
- Après avoir déjà enfilé deux sens interdits, l'homme s'en est pris à la conductrice...
- La femme ayant été décapitée, il nous a été impossible jusqu'à présent de mettre un nom sur son visage.
- Aucun dégât n'est à déplorer à l'exception de la seule et unique victime.
- Selon ses dires, l'homme est mort vers 16h30
- L'homme a déposé sa plainte sur le bureau avant de s'envoler devant nos yeux qui n'ont rien compris.
- Le choc fut sans gravité même s'il fallut déplorer deux morts...
- Seuls quelques dégâts matériels furent notés sur le cadavre...
- Le policier put frapper son agresseur à la tête sans difficulté, son arme étant parfaitement réglementaire.
- L'homme ne semblait pas avoir prévu son meurtre avec préméditation...
- Un violent coup sur la tête semblait indiquer une mort naturelle...
- Après identification, le corps fut rendu à sa famille dont personne n'a pu retrouver la trace.
- Le défunt confirma que son meurtrier avait bien agi seul.
- Malgré son mariage et ses quatre enfants, l'homme vivait comme un veuf éploré...
- Grièvement blessé, la vitrine s'effondra en morceaux...
- La mer était sa terre natale...
- Le trio des voleurs était composé de quatre hommes d'origine africaine...
- Le suspect étant sans domicile fixe, les policiers purent le cueillir quand il sortit enfin de chez lui.
- L'homme qui avait dérobé les miches s'en prit ensuite à celles de la boulangère...
**************************************************************************************************************************
Un policier arrête un homme qui roulait à une vitesse excessive. Le policier demande :
- Puis-je avoir votre permis de conduire s.v.p. ?
- J'en ai pas. Ils me l'ont saisi pour la 5e fois.
- Avez-vous les enregistrements du véhicule ?
- Non. Ce n'est pas mon véhicule. Je l'ai volé.
- C'est un véhicule volé ?!?
- Oui. Mais pendant que j'y pense, je crois que j'ai vu les enregistrements du véhicule dans le coffre à gants quand j'y ai mis mon fusil.
- Il y a un fusil dans le coffre à gants ???
- Oui. Je l'ai mis là après avoir tué la fille à qui j'ai volé la voiture. Ensuite, j'ai mis son corps dans la valise.
- Il y a un CORPS dans la VALISE ??????????
- Oui, m'sieur l'agent! Le policier est bouleversé, il retourne dans son auto-patrouille et appelle le chef policier pour lui raconter le tout. Le chef arrive immédiatement et va voir l'homme :
- Monsieur, puis-je voir votre permis de conduire ?
- Pas de problèmes, le voici. Le permis était en règle.
- À qui appartient ce véhicule ?
- C'est le mien, monsieur l'agent, voici les papiers d'enregistrement. Le véhicule était bel et bien à cet homme.
- Maintenant pouvez-vous ouvrir lentement le coffre à gants que je puisse voir s'il y a un fusil à l'intérieur ?
- Bien sur, mais il n'y a aucun fusil ! Il n'y avait pas de fusil dans le coffre.
- Hmmm. Voudriez-vous ouvrir la valise, j'ai entendu dire qu'il y avait un corps dedans.
- Un corps !?! J'ouvre tout de suite!!! Il ouvre le coffre, aucun corps à l'intérieur. Le chef reprend :
- Je n'y comprends rien, mon collègue m'a appelé pour me dire que votre permis de conduire était suspendu, que vous aviez un véhicule volé, qu'il y avait un fusil dans le coffre à gants et un corps
mort dans la valise !
- Ouais, ouais... Tant qu'à y être, je suppose que ce maudit menteur vous à aussi dit que je roulais trop vite ?
***************************************************************************************************************************
A combien rouliez-vous? demande le gendarme.
A deux seulement, mais si vous voulez monter, il reste de la place.
***************************************************************************************************************************
A la poste, un monsieur dont la main est dans le plâtre s'approche d'une dame qui fait la queue au guichet :
- Pardon, Madame, voudriez-vous m'écrire l'adresse sur cette carte postale ? La dame s'exécute de bonne grâce, acceptant même d'ajouter quelques mots et de signer pour lui.
- Voilà ! dit-elle, puis-je faire autre chose pour vous ?
- Oui, répond le monsieur, pourriez-vous ajouter en post-scriptum prière d'excuser l'écriture
***************************************************************************************************************************