•                                 Parc éolien offshore de Middelgrunden, Danemark - Photo ABIES


    Un projet de parc d'éoliennes en mer est en cours de préparation au large de Saint Germain sur Ay
    a 3 kilométres au large. Nous devons nous mobiliser pour empécher ce projet. L'association ACPEM
    a été montée pour s'opposer farouchement à ce projet.

    Il faut savoir que les éoliennes en mer coutent très cher à installer et à maintenir en état pour une
    production d'électricité bien médiocre !


    Avec le deuxième espace maritime mondial, la France semblait bien placée pour truster le palmarès européen de l’éolien en mer. Oui mais voilà, entre errances réglementaires et retards industriels, l’Hexagone s’est fait griller la priorité par le Danemark, le Royaume-Uni et même l’Allemagne. Le Grenelle de l’environnement fixe pourtant un objectif de 6 000 MW pour l’éolien offshore tricolore d’ici 2020. Etat des lieux.

    Un petit parc et puis s’en va

    Dresser la liste des parcs éoliens français construits en mer ne vous prendra pas la journée, ni même une heure. Et pour cause, il n’y en a pas. Seul projet sérieux, celui porté par la société Enertrag au large de Veulettes-sur-mer (Seine-Maritime), dont la mise en exploitation est prévue pour 2011. Retenu par l’appel d’offres lancé par l’Etat en 2004, ce parc de 21 éoliennes 5W fabriqués par Multibrid (Areva) produira l’équivalent de la consommation électrique de 175 000 personnes. Une première qui illustre l’ampleur des progrès à accomplir. Pour tenir les objectifs du Grenelle 2, il faudra en effet installer quelque 1000 éoliennes dans les mers françaises d’ici 2020. Soit un rythme annuel de près de 600 MW. Un sacré défi pour un secteur qui couvrirait alors les besoins domestiques de quelques 8 millions de citoyens.

    Une réglementation jugée handicapante

    En attendant 2020, comment expliquer l’actuel retard français ? D’abord par un tarif d’achat obligatoire trop bas : 13 cts du KWh sur 10 ans. C’est l’avis de France Energie Eolienne, une branche du Syndicat des Energies Renouvelables, qui met en avant les tarifs allemands (15 cts) et portugais (23 cts) jugés plus encourageants. Notons néanmoins que des pays comme la Suède ou le Danemark ont réalisé des parcs offshore au large de leurs côtes malgré des tarifs inférieurs à 10 centimes d’euro. Autre explication : le manque de clarté des Zones de Développement de l’Eolien dont la loi Grenelle 2 prévoit d’ailleurs la suppression pour les implantations maritimes. Une décision qui s’accompagne d’un programme de concertation au sein des régions côtières par le ministère de l’Ecologie. Lancée en mars dernier, cette initiative a pour objectif de mieux planifier les futurs parcs. Pas sûr que ces débats suffisent à régler les nombreux conflits comme le bras de fer entre La Compagnie du Vent et les pêcheurs normands au sujet du futur parc des Deux Côtes (Tréport – Seine-Maritime). Ils pourraient en revanche permettre de surmonter les incertitudes sur la capacité du réseau électrique français à gérer le flux d’énergie éolienne, RTE prenant part aux discussions.

    Le potentiel français

    Au-delà des divergences, l’Hexagone semble néanmoins présenter un certain nombre d’atouts pour atteindre ses objectifs dans l’éolien offshore. Ils sont d’abord géographiques. Avec quatre façades maritimes et une forte présence Outre-mer, la France dispose d’un gisement de premier choix. Mais aussi d’un savoir-faire industriel dans des activités proches de l’éolien offshore. Citons-ici le secteur parapétrolier (plateformes…) ou de la construction navale. Et également les grands groupes nationaux ayant déjà un premier pied dans l’éolien : Alstom T&D (génie électrique), Schneider Electric (génie électrique), Stromag (freins à disque). Et bien sûr Areva qui construit des éoliennes via sa filiale Multibrid. Le challenge « venteux » pourrait également s’appuyer sur les grands ports français pour la logistique des chantiers. En espérant, bien sûr, que la liste de ces implantations prennent un peu de longueur en 2010.



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  • Monde – Le "Galactic Suite Space Resort", le premier hôtel de l’espace devrait pouvoir accueillir ses premiers clients en 2012. Pour la somme de 3 millions d'euros, il sera possible de passer trois nuits dans l'espace.

    Après avoir suivi un entraînement de huit semaines, il serait possible de passer quatre jours et trois nuits dans cet hôtel. Au programme : un tour du monde toutes les 80 minutes et 15 levers de soleil par jour. Des combinaisons en velcro permettraient même aux résidents de l’hôtel de s’accrocher aux murs afin de progresser en état d'apesanteur. L'hôtel, en orbite à 450 km de la Terre, pourrait accueillir quatre clients et deux astronautes.

    Xavier Claramunt, le directeur de la compagnie qui a lancé le projet, déclare que le principal problème sera la création de salles de bains et surtout, de permettre aux clients de prendre une douche en absence de gravité. La solution sera peut-être la création d’un spa où les bulles d’eau flotteraient à l’intérieur d'une pièce.

    Galactic Suite Space Resort semble déjà prendre de l’ampleur, puisque des investisseurs potentiels à travers le monde semblent s’intéresser au projet. Selon les calculs de la compagnie, seulement 40.000 personnes dans le monde auraient les moyens de s’offrir ce séjour de luxe 

                                  Bonne soirée


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  • Hélène Ségara est née le 26 février 1971 à Six-Fours-les-Plages dans la ferme de son grand-père, d’un père italien et d’une mère arménienne. Elle dit avoir été marquée dans son enfance par le divorce de ses parents alors qu'elle avait 8 ans et la mort de son grand-père quand elle avait 16 ans[1]. Son désir de chanter et d’en faire son métier la poussent à quitter à l’âge de 15 ans les milieux scolaires et familiaux.

    Elle enchaîne alors les petits boulots et se produit dans les piano-bars de la Côte d’Azur. À 18 ans, elle donne naissance à Raphaël. Son répertoire s’étoffe de nombreuses influences musicales et de plus d’un millier de titres En 1993, paraît un premier single, Loin, qui ne rencontre pas le succès



    En 1996, accompagnée de son jeune fils, elle déménage à Paris où elle fait la connaissance de Christian Loigerot, qui deviendra par la suite l’un de ses compositeurs. Elle rencontre également Orlando, frère de Dalida, qui l'encadre et donne une nouvelle impulsion à sa carrière. L’expérience et le professionnalisme de ce mentor marquent profondément la jeune chanteuse, mais elle reste sous contrat avec son premier producteur.

    Un début de succès commence avec Je vous aime adieu, single extrait du premier album de la chanteuse, Cœur de verre (1996), et le duo Vivo per lei, interprété avec Andrea Bocelli. Hélène Ségara interprète ensuite le rôle d'Esméralda dans la comédie musicale Notre-Dame de Paris composée par Richard Cocciante. Alors qu'elle avait auditionné pour ce rôle en 1997, elle n'est sélectionnée qu'en 1999, suite au désistement de la chanteuse israélienne Noa. « Quand le destin frappe à la porte une seconde fois, il ne faut pas le laisser s'enfuir » a déclaré Hélène Ségara.

    Sa carrière est mise en danger lorsqu'on lui diagnostique un kyste aux cordes vocales, en pleine tournée. Au cours d'une représentation au Canada, elle perd sa voix. La chanteuse doit se faire opérer, et son producteur revend alors son contrat à Orlando.

    Après un repos forcé, elle enregistre son second opus, Au nom d'une femme, en 2000. Grâce aux tubes Il y a trop de gens qui t'aiment, Elle tu l'aimes, Parlez-moi de nous et Tu vas me quitter, l'album se hisse au sommet des tops 50, et devient disque de diamant. Hélène Ségara entame alors une tournée de deux ans. Un enregistrement vidéo du concert qu'elle a donné à l'Olympia de Paris à l'occasion de cette tournée est commercialisé. Un sondage IFOP la consacre « chanteuse française préférée des Français » [réf. nécessaire].

    En mars 2003 sort son troisième album, Humaine, avec notamment On n'oublie jamais rien, on vit avec (en duo avec Laura Pausini) et L'amour est un soleil, composé par Romano Musumarra. 700 000 exemplaires de cet album sont vendus. Elle repart en tournée fin 2003, mais doit interrompre ses représentations en raison d'une grossesse difficile. En août de la même année, Hélène Ségara épouse à Ajaccio Mathieu Lecat (fils du journaliste Didier Lecat), avec qui elle a eu deux autres enfants : Matteo (mai 2003) et Maïa (octobre 2004).

    Son quatrième album studio, Quand l'éternité..., sort en 2006, porté par les singles Méfie-toi de moi et Rien n'est comme avant. Il s'agit d'un album au style différent des précédents, aux influences rock plus marquées, avec des textes pour la plupart composés par l’interprète, et qui abordent des thèmes tels que l'absence, la mort et l'espérance. Ce changement musical n'empêche pas l'album d'être certifié disque d'or après 3 mois d'exploitation. Il s'en est écoulé à ce jour plus de 200 000 exemplaires. Début 2007, elle part alors en tournée en France en passant notamment par Paris, au Palais des Sports.

    Après avoir édité plusieurs compilations, elle sort en février 2008 un duo inédit avec Bruno Pelletier, La moitié de nous, dont une partie des bénéfices est reversée à l'association Rêves. L'année 2008 est également consacrée à l'enregistrement d'un nouvel album. Sorti le 17 novembre, Mon Pays, c'est la Terre est composé de 16 reprises de chansons provenant de différents pays, et contient notamment un duo avec la chanteuse Maurane. Une nouvelle tournée, Un Tour de la Terre, débute le 16 novembre, passant entre autres par l'Olympia de Paris.


     

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  • Nicolas Sarkozy aurait

    Les journalistes de CB News ont retrouvé une publicité à laquelle Nicolas Sarkozy a participé.

    A l'époque, elle était passée incognito, mais elle refait surface dans un ouvrage, "Bonux : la lessive aux 1.000 cadeaux" (Editions du May).

    Sur cette publicité datée de 1967, l'enfant blond qui joue avec un avion miniature serait  ... Nicolas Sarkozy!

    Nos confrères précisent que le père de Nicolas Sarkozy était alors illustrateur au Service des Réclames de la lessive Bonux.

    CB News affirme avoir vérifié cette information auprès d'anciens employés de la marque, tout en indiquant par ailleurs que la photo aurait été retouchée: la couleur des cheveux aurait été modifiée.

    Alors, d'après vous, le gosse en photo, c'est Nicolas ??


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  • Angleterre, Grande-Bretagne - Otto Jones est un teckel âgé de 20 ans et 8 mois, soit l'équivalent de 145 ans à l'échelle humaine. Il est selon le Guinness des Records, le plus vieux chien du monde encore vivant.

    Selon Lynn Jones, la maîtresse d'Otto, le secret de sa longévité est une "bonne alimentation, beaucoup d'amour et d'affection, et des visites régulières chez les vétérinaires pour être sûr que tout va bien" , rapporte l'Associated Press.

    Malgré son grand âge, Otto joue encore à la balle et n'hésite pas à sauter sur le canapé. Il lui reste pourtant encore quelques mois avant de détrôner l'actuelle tenante du titre : la chienne Chanle, un autre teckel, est décédée en août dernier à l'âge de 21 ans. 

                                 chien


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