• Etats-Unis – Une compagnie américaine propose comme service la location d’animaux ruminants pour effectuer la tonte de végétaux. Plus besoin de s’acquitter de la corvée de tondeuse, les chèvres font le travail !

    Établie près de Seattle, la compagnie américaine Rent a ruminant a décidé d’allier confort et respect de l’environnement en proposant à ses clients une tondeuse sans conséquence écologique : la location de ruminants, et plus particulièrement de chèvres. Ainsi, lorsqu’un client veut s’offrir les services de l’entreprise, cette dernière dépose plusieurs chèvres sur le terrain, dont le nombre varie en fonction de la surface du terrain à tondre.

    Si soixante chèvres peuvent brouter près de 2000m² de surface en 3 à 5 jours, cette location a tout de même un coût : 490 euros par jour, plus 200 euros de frais fixes. Le prix à payer pour ne plus s’occuper de ce qui est souvent défini comme une corvée.



                                         Bonne soirée


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  • Hier soir sur TF1, nous avons pu voir (ou revoir) le film La Mome d'olivier Dayan qui retrace
    la carrière fulgurante d'une chanteuse hors du commun : Edith Piaf !



     Il faut souligner la performance exceptionnelle de Marion Cotillard dans un role hors norme !
    Ce film est d'une intensité dramatique et montre avec réalisme la carrière unique de la plus
    grande chanteuse française de tous les temps ! En tout cas, nous on est fans à 200 %

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  • Amsterdam, Hollande – Une ancienne hôtesse de l'air a inventé un soutien-gorge qui permettrait d'éviter les rides sur le décolleté des femmes.

    Rachel De Boer, une ancienne hôtesse de l’air, commençait à s’inquiéter des rides qu’elle avait au niveau de la poitrine. C’est après les conseils d’une amie qui lui suggérait de dormir avec un oreiller entre les seins que l'idée lui est venue.

    Le soutien-gorge anti rides, qui est conçu pour se porter la nuit, permettrait selon sa créatrice de retrouver une peau lisse.

    Rachel qui a déjà commercialisé son "La Decollette bra" aux Pays-Bas espère que son invention aidera de nombreuses femmes partout dans le monde. 

                            Sexy ...


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  •                                 Parc éolien offshore de Middelgrunden, Danemark - Photo ABIES


    Un projet de parc d'éoliennes en mer est en cours de préparation au large de Saint Germain sur Ay
    a 3 kilométres au large. Nous devons nous mobiliser pour empécher ce projet. L'association ACPEM
    a été montée pour s'opposer farouchement à ce projet.

    Il faut savoir que les éoliennes en mer coutent très cher à installer et à maintenir en état pour une
    production d'électricité bien médiocre !


    Avec le deuxième espace maritime mondial, la France semblait bien placée pour truster le palmarès européen de l’éolien en mer. Oui mais voilà, entre errances réglementaires et retards industriels, l’Hexagone s’est fait griller la priorité par le Danemark, le Royaume-Uni et même l’Allemagne. Le Grenelle de l’environnement fixe pourtant un objectif de 6 000 MW pour l’éolien offshore tricolore d’ici 2020. Etat des lieux.

    Un petit parc et puis s’en va

    Dresser la liste des parcs éoliens français construits en mer ne vous prendra pas la journée, ni même une heure. Et pour cause, il n’y en a pas. Seul projet sérieux, celui porté par la société Enertrag au large de Veulettes-sur-mer (Seine-Maritime), dont la mise en exploitation est prévue pour 2011. Retenu par l’appel d’offres lancé par l’Etat en 2004, ce parc de 21 éoliennes 5W fabriqués par Multibrid (Areva) produira l’équivalent de la consommation électrique de 175 000 personnes. Une première qui illustre l’ampleur des progrès à accomplir. Pour tenir les objectifs du Grenelle 2, il faudra en effet installer quelque 1000 éoliennes dans les mers françaises d’ici 2020. Soit un rythme annuel de près de 600 MW. Un sacré défi pour un secteur qui couvrirait alors les besoins domestiques de quelques 8 millions de citoyens.

    Une réglementation jugée handicapante

    En attendant 2020, comment expliquer l’actuel retard français ? D’abord par un tarif d’achat obligatoire trop bas : 13 cts du KWh sur 10 ans. C’est l’avis de France Energie Eolienne, une branche du Syndicat des Energies Renouvelables, qui met en avant les tarifs allemands (15 cts) et portugais (23 cts) jugés plus encourageants. Notons néanmoins que des pays comme la Suède ou le Danemark ont réalisé des parcs offshore au large de leurs côtes malgré des tarifs inférieurs à 10 centimes d’euro. Autre explication : le manque de clarté des Zones de Développement de l’Eolien dont la loi Grenelle 2 prévoit d’ailleurs la suppression pour les implantations maritimes. Une décision qui s’accompagne d’un programme de concertation au sein des régions côtières par le ministère de l’Ecologie. Lancée en mars dernier, cette initiative a pour objectif de mieux planifier les futurs parcs. Pas sûr que ces débats suffisent à régler les nombreux conflits comme le bras de fer entre La Compagnie du Vent et les pêcheurs normands au sujet du futur parc des Deux Côtes (Tréport – Seine-Maritime). Ils pourraient en revanche permettre de surmonter les incertitudes sur la capacité du réseau électrique français à gérer le flux d’énergie éolienne, RTE prenant part aux discussions.

    Le potentiel français

    Au-delà des divergences, l’Hexagone semble néanmoins présenter un certain nombre d’atouts pour atteindre ses objectifs dans l’éolien offshore. Ils sont d’abord géographiques. Avec quatre façades maritimes et une forte présence Outre-mer, la France dispose d’un gisement de premier choix. Mais aussi d’un savoir-faire industriel dans des activités proches de l’éolien offshore. Citons-ici le secteur parapétrolier (plateformes…) ou de la construction navale. Et également les grands groupes nationaux ayant déjà un premier pied dans l’éolien : Alstom T&D (génie électrique), Schneider Electric (génie électrique), Stromag (freins à disque). Et bien sûr Areva qui construit des éoliennes via sa filiale Multibrid. Le challenge « venteux » pourrait également s’appuyer sur les grands ports français pour la logistique des chantiers. En espérant, bien sûr, que la liste de ces implantations prennent un peu de longueur en 2010.



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  • Monde – Le "Galactic Suite Space Resort", le premier hôtel de l’espace devrait pouvoir accueillir ses premiers clients en 2012. Pour la somme de 3 millions d'euros, il sera possible de passer trois nuits dans l'espace.

    Après avoir suivi un entraînement de huit semaines, il serait possible de passer quatre jours et trois nuits dans cet hôtel. Au programme : un tour du monde toutes les 80 minutes et 15 levers de soleil par jour. Des combinaisons en velcro permettraient même aux résidents de l’hôtel de s’accrocher aux murs afin de progresser en état d'apesanteur. L'hôtel, en orbite à 450 km de la Terre, pourrait accueillir quatre clients et deux astronautes.

    Xavier Claramunt, le directeur de la compagnie qui a lancé le projet, déclare que le principal problème sera la création de salles de bains et surtout, de permettre aux clients de prendre une douche en absence de gravité. La solution sera peut-être la création d’un spa où les bulles d’eau flotteraient à l’intérieur d'une pièce.

    Galactic Suite Space Resort semble déjà prendre de l’ampleur, puisque des investisseurs potentiels à travers le monde semblent s’intéresser au projet. Selon les calculs de la compagnie, seulement 40.000 personnes dans le monde auraient les moyens de s’offrir ce séjour de luxe 

                                  Bonne soirée


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