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      Mourir en bonne santé, c'est le voeu de tout bon vivant bien portant.

    • Ceux qui ne savent rien en savent toujours autant que ceux qui n'en savent pas plus qu'eux.

    • Celui qui dans la vie, est parti de zéro pour n'arriver à rien dans l'existence n'a de merci à dire à personne.

    • Si la fortune vient en dormant, ça n'empêche pas les emmerdements de venir au réveil.

    • Ceux qui pensent à tout n'oublient rien et ceux qui ne pensent à rien font de même puisque ne pensant à rien ils n'ont rien à oublier.

    • Si la semaine de 40 heures était réduite de moitié, les fins de mois auraient lieu tous les quinze jours.

    • Quand on n'a besoin que de peu de chose, un rien suffit, et quand un rien suffit on n'a pas besoin de grand-chose.

    • Un très ancien proverbe birman dit :"Rien ne sert de courir si on n'est pas pressé et rien ne sert de marcher si on n'est pas foutu de se tenir debout".

    • Si ma tante en avait on l'appellerait mon oncle, et si mon oncle en était on l'appellerait ma tante. En tout bien tout honneur, naturellement.

    • Un autre très ancien proverbe birman dit :"Rien ne sert de pisser si on n'en a pas envie".

    • Quand on dit d'un artiste comique de grand talent qu'il n'a pas de prix, ce n'est pas une raison pour ne pas le payer sous le fallacieux prétexte qu'il est impayable !
    • LES PENSEES DE PIERRE DAC

     

    Sa carrière débute en 1922 à Montmartre dans La Vache Enragée, puis sur les ondes où il va animer dès 1936 un jeu complètement déjanté La course au trésor. En 1938, il lance L’os à Moelle, journal aux parutions irrégulières et épisodiques qui se tiendront jusqu’en 1966.

    A la guerre, il entre dans la résistance dont il sera médaillé et sera la voix de la France de 1943 à 1944 dans l’émission de Radio Londres « les Français parlent aux Français ».

    Franc-Maçon de 1946 à 1952, homme de radio, comédien, écrivain, chanteur, Pierre Dac fut également un précurseur en de nombreux domaines. Il se présenta, entre autre, à l’élection présidentielle bien avant Coluche avec son parti le MOU (mouvement ondulatoire unifié), inventera aussi le premier faux journal télévisé et le mot Schmilblick c’est de lui aussi.

    Mais ce que l’on retiendra surtout de ce grand comique, ce sont ses duos avec Francis Blanche dont le mythique sketch Le Sâr Rabindranath Duval (1957).



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  • je guette le cadran de l'horloge,

    et les aiguilles tournent sans fin

    je doute et je m'interroge

    aurais je peur de demain ?

    Ce temps assassin qui défile

    me meurtrit chaque jour

    de petites secondes inutiles

    qui me prennent de court

    L'aiguille égrainant les secondes

    s'agite et s'affole sur le cadran

    attirée par des mauvaises ondes

    défilant les minutes folles du temps.

     

                                                           Le Général Patoune

    L'HORLOGE

     


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  • Voici quelques photos d'Aigues mortes dans le gard. Ces photos datent de l'an dernier quand nous étions en vacances dans le gard. Les remparts datent du XI eme siecle et entourent la ville intra-muros. ils ont une longueur de 1600 mètres. Sans faire l'objet de restauration particulière, ils sont très restés en parfait état.

    AIGUES MORTES

    AIGUES MORTES

    AIGUES MORTES


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  • 49 ème album studio de Johnny, ce disque navigue entre ballades et morceaux plus enlevés, blues, soul, country et rock'n'roll. La réalisation du disque est extrêmement soignée, signée par Don Was, musicien, bassiste pour McCartney et producteur très réputé aux États-Unis qui a déjà réalisé des albums pour U2, Bob Dylan ou encore les Rolling Stones.

    Le disque navigue avec bonheur entre blues, soul, country et rock'n'roll, exécutés avec goût et panache. Guitares acoustiques et électriques, orgues, piano, cuivres, l'instrumentarium de l'album se garnit aussi de touches de mandoline ou de fiddle. Mais c'est la voix du chanteur, épatante d'intensité, qui se taille la vedette sur l'ensemble du disque.

    Composées par une équipe articulée autour de Yodelice, Rester vivant contient plusieurs pépites. Au café de l'avenir en est une, vraie fausse confession enlevée aux guitares rutilantes. J't'ai même pas dit merci, due à Gary Wright de Spooky Tooth et Christophe Miossec est un blues mutant du meilleur effet. Te manquer revêt les contours surprenant d'un boléro country qui croise les traditions européennes et américaines avec bonheur. D'autres titres, plus classiques, ne rompent pas le climat d'excellence.

    Surtout, sur des paroles de Miossec, Jeanne Cherhal, Pierre-Dominique Burgaud ou Isabelle Bernal, Johnny Hallyday assume - enfin - son âge. On est loin des postures façon Mad Max dans ces belles réflexions sur le temps qui passe, le retour en arrière (Une lettre à l'enfant que j'étais), ou le bilan d'une vie (Si j'avais su la vie). Hallyday assume aussi son double héritage entre chanson française à texte et textures du rock américain, concluant le disque avec un morceau épique façon Springsteen, À nos promesses, sur lequel il chante «Je suis jeune depuis longtemps».


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