Une Brésilienne centenaire a décidé de retourner à l'école pour enfin apprendre à lire et à écrire. Elle est devenue un véritable exemple pour ses camarades de classe.

Isolina Campos, une Brésilienne âgée de 100 ans depuis le mois dernier, s'est mise en tête de retourner à l'école pour enfin apprendre à lire et à écrire. Inscrite dans l'école municipale Moacyr Camargo Martins de Londrina, dans le sud du Brésil, elle suit des cours pour adultes, et suscite l'admiration de ses camarades. Elle qui avait dû arrêter ses cours en 1998 pour des problèmes de santé explique qu'elle fait cela pour ne pas rester chez elle "à ne rien faire".

"Je n'aime pas rester inactive (...) et je veux donner l'exemple à ceux qui veulent étudier", annonce-t-elle à la presse locale, relayée par l'AFP. De quoi donner envie aux 14 millions d'analphabètes brésiliens (7,4% de la population) de marcher sur ses pas. De son côté, la directrice de l'école Regina Pierotti a déclaré au quotidien Estado de Sao Paulo qu'Isolina était très attentive en cours : "Elle veut tout le temps savoir ce que signifie telle ou telle lettre".

Les cours d'alphabétisation sont la dernière activité de la journée d'Isolina, qui habite un trois pièces à côté de la maison de son fils. Encore très active, elle se lève à sept heures et fait le ménage tous les jours. Le reste du temps, elle coud des tapis avec des morceaux de tissu récupérés chez des couturières.

Huguette Clark, héritière de la fortune colossale de son père, a vécu recluse pendant toute son existence. Elle est aujourd’hui décédée, à 104 ans, dans un hôpital. Elle n’a aucune famille et donc aucun héritier.

Huguette Clark, née le 9 juin 1906, est décédée mardi 24 mai 2011 à l’âge de 104 ans dans un hôpital de New York, le Beth Israel Medical Centre, après y avoir passé au moins les 22 dernières années de sa vie. Elle a vécu toute sa vie recluse et coupée du monde, malgré la fortune colossale héritée de son père, rapporte le Guardian. Aujourd’hui, elle n’a aucun héritier pour prétendre à ce pactole de 500 millions de dollars (plus de 380 millions d’euros).

La dernière photo d’Huguette Clark date de 1930, et pour cause : cette femme aura passé son existence coupée du monde, loin de tout. Elle a passé ses derniers jours entre les quatre murs de sa chambre d’hôpital, entourée de ses infirmières et en compagnie de ses poupées de porcelaine. Le reporter Bill Dedman, qui a écrit des travaux au sujet de cette femme mystérieuse, raconte : "Elle n’était pas malade. Elle était recluse. À côté d’elle, Howard Hugues avait l’air d’un boute-en-train."

Des biens incroyables à l’abandon

En choisissant elle-même de vivre dans un hôpital, Huguette Clark a renoncé à tous les biens dont elle disposait. Parmi eux, de nombreuses propriétés luxueuses comme Bellosguardo, une maison de près de 100 millions de dollars (76 millions d’euros) surplombant le Pacifique à Santa Barbara en Californie qu’elle a visitée pour la dernière fois il y a 50 ans de cela.

Il y a aussi le Beau Château, de 24 millions de dollars (18 millions d’euros), propriété de 21 hectares dans le Connecticut, qu’elle a achetée en 1952 et agrandie avec un artisan, sans jamais l’occuper. Et par-dessus tout, elle possédait l’appartement de la 5e Avenue : connu pour être le plus grand dans ce quartier de Manhattan, il comporte 42 chambres sur plus d’un étage et demi, sur un bloc entier. La dernière fois qu’elle a été vue là-bas date de 22 ans  !

Des scientifiques songeraient sérieusement à produire un nouveau biogaz à partir des déjections canines.

Transformer les déjections canines en énergies renouvelables de demain, voilà le pari un peu fou de scientifiques argentins de la ville de Buenos Aires pour palier à la raréfaction des énergies fossiles. Dans le cadre d’un projet de recherche baptisé "La pollution urbaine due aux excréments canins", le laboratoire d’essais du Groupe de Recherche des Énergies Renouvelables (GIDER) vient de mettre au point un biodigesteur rempli de crottes de chiens et d’eau chaude, explique le site green et vert.

Ces conditions idéales favorisent le développement de bactéries anaérobies qui, par l'action de la chaleur, entraînent la décomposition du mélange et la libération de méthane plusieurs jours durant. Ce gaz naturel et bon marché, avec un rendement de 55,58 grammes de méthane par kilo d’excréments, pourrait ainsi fonctionner pour faire marcher nos systèmes électriques grâce à un composant facile à obtenir et gratuit! Une ville comme celle de Buenos Aires, comptant un chien pour 7,4 habitants constituerait alors un fort potentiel pour ce type d’initiative écologique. Reste à savoir si ce nouveau gaz sentira aussi bon qu'il se dit "propre".

La police a arrêté un cycliste roulant à contresens sur l'autoroute. Lors de l'interpellation, elle a découvert que l'homme transportait sur lui plusieurs kilos de drogues diverses.Les gendarmes du peloton routier de Poussan, dans l'Hérault, n'ont pas dû en croire leurs yeux. Lundi 23 mai, ils sont alertés qu'un cycliste roulait à contresens sur l'autoroute A9, entre Montpellier et Mèze. Immédiatement, ils arrivent sur place et interpellent le dangereux chauffard. Un homme de 34 ans, originaire de Lavaur dans le Tarn qui n'était pas dans son état normal.Après quelques minutes, les militaires découvrent l'origine du comportement du cycliste. Dans son sac à dos, ils ont découvert trois kilos de "speed", un mélange d’amphétamine et de cocaïne. S'y trouvait également 500 grammes de cristal de MDMA, la molécule de l’ecstasy, un sachet contenant 200 pilules d’ecstasy, des dizaines de buvards de LSD ou encore des morceaux de haschich, précise Midi Libre.7 000 euros de drogue retrouvés Après avoir repris ces esprits, l'homme, un ancien restaurateur, a expliqué aux forces de l'ordre qu'il revenait des Pays-Bas où il avait fait son marché. Son camion étant tombé en panne pendant le retour, il a enfourché son "deux-roues" et pris la route pour rentrer chez lui. Il a aussi prétendu lors de son audition être poursuivi par des individus.C'est une saisie de 7 000 euros de stupéfiants qu'ont effectués les gendarmes. Le dealer voulait revendre dans son département pour pallier des problèmes d'argent. Déclaré sain d'esprit par les psychiatres, l'homme est présenté au parquet ce jeudi. C'était déjà son deuxième voyage aux Pays-Bas.